A Noël, il y a les gens qui se gavent de foie gras et se ruinent en cadeaux, les allergiques aux fêtes de fin d’année qui s’enferment à double-tour chez eux avec une bûche au Xanax, et les incurables obsédés qui voient en cette fête une occasion supplémentaire pour s’adonner aux joies de la bagatelle. C’est cette dernière catégorie qui nous intéresse pour le prochain recueil de la collection Osez 20 histoires: Noël sexy, Noël coquin, Noël déluré, Noël libertin, appelez-le comme vous voulez, mais racontez-nous comment vous l’imaginez !
Date limite de remise des textes : lundi 15 août 2022 à l’adresse habituelle : elise.musardine@gmail.com
Le prochain recueil de notre humble collection sera consacré à l’inépuisable thème du libertinage : en club, à la maison ou dans des lieux plus insolites, plans à trois, à quatre, à douze, avec ou sans accessoires, à la lumière feutrée d’une bougie ou sous les néons crus d’un parking, abordez le sujet comme vous voulez, mais soyez originaux et lâchez-vous, et oubliez le port du masque et les gestes barrières, c’est de la fiction, on s’autorise tout !
Date limite de remise des textes : dimanche 28 février2022 à l’adresse habituelle : elise.musardine@gmail.com
Depuis quelques temps, les messages se multiplient pour nous demander : « bah alors, c’est quand, le nouvel appel à textes? »
Ben voilà. C’est maintenant. Osez 20 histoires de BDSM.
Je ne prends pas la peine de vous expliquer quel genre de prose nous attendons pour ce recueil, tout ce qui se rapporte de près ou de loin au BDSM est le bienvenu, et si vous ignorez ce qu’on entend par « BDSM », c’est que vous êtes sur ce site par erreur, auquel cas nous vous invitons à poursuivre votre route ici.
Envoi des textes à l’adresse habituelle: elise.musardine@gmail.com Les conditions de participation sont ici. Date limite de rendu : dimanche 27 juin 2021
Le délai est assez court alors au boulot, petits vermisseaux insignifiants. (je suis sympa je vous mets dans l’ambiance)
Notre prochain recueil s’appellera donc « Osez 20 fantasmes féminins ». Plusieurs façons de l’aborder. Si vous êtes une femme, vous pouvez utiliser un fantasme qui vous obsède particulièrement et en faire une histoire. Si vous êtes un homme, racontez-nous comment une femme vous a conduit dans un univers fantasmatique qui n’était pas forcément le vôtre. Si vous pensez qu’il n’existe pas de fantasmes typiquement féminins ou masculins, ou que les choses sont plus compliquées que ça, vous pouvez aussi en jouer. Toutes les approches sont les bienvenues, et leur pluralité est même encouragée, pourvu qu’elle soit au service de la fonction première de la littérature érotique, à savoir émoustiller son lectorat. Dans l’idéal, nous aimerions composer un recueil avec 20 fantasmes différents, il y aura donc pour ce recueil une forte prime à l’originalité !
(bon là ils sont encore habillés mais l’idée c’est qu’ils ne le restent pas longtemps)
Vous ne couchez pas le premier soir ? Alors cet appel à textes ne vous intéressera pas. Notre prochain recueil sera en effet consacré aux histoires sans lendemain, aux histoires de cul pour le cul, au mec qu’on branche sur Tinder (ou Grindr, la maison n’est pas sectaire) le soir même juste parce qu’on a envie de sexe et qu’on oublie dès le lendemain, à la fille qu’on drague en boite et qu’on baise dans les toilettes sans laisser de numéro, au jeune éphèbe tunisien avec lequel on s’amuse en vacances à Djerba après avoir laissé son cocu de mari à 2000 kilomètres de chez soi, à la naïade masquée qu’on prend dans l’alcôve d’un club libertin sans connaître son visage ni son prénom, bref à tous ces humains qui, le temps d’une montée de désir un peu plus brutale que d’habitude, se résument à des corps. Après deux mois de confinement, on s’est dit que ça devrait vous inspirer !
Pour notre prochain recueil, nous voulons des histoires inavouables. C’est-à-dire des histoires de cul que vous n’oseriez raconter à personne tant elles sont indécentes. Tous les types de fantasmes et de scénarios sont permis (à part les trucs légalement répréhensibles, qu’il est inutile de rappeler). Ce qui compte, c’est d’essayer d’aller un peu plus loin que le « osé », le « déluré » ou le « très cul », ça, notre honorable lectorat connaît déjà.
Imaginez une personne, homme ou femme, qui a une vie sexuelle libérée et assumée, connaît son corps, expérimente ses fantasmes, lit volontiers de la littérature érotique… Votre mission est de faire dire à cette personne: « oh putain, ça va loin là ! » en vous lisant.
Si la passion amoureuse est si souvent écrite à l’eau de rose, c’est car la littérature romantique tend à négliger la dimension sexuelle de la passion. Dans ce nouveau recueil, nous avons décidé de corriger cette anomalie en recentrant la passion sur la jouissance sexuelle. Que se passe-t-il du point de vue du désir, des fantasmes, de la sensualité quand deux humains s’éprennent brutalement l’un de l’autre ? Au nom de quelle magie les orgasmes passionnels sont-ils si explosifs ? Qu’est-ce qui se trame exactement dans le cerveau et dans la chair quand on aime passionnément ? Que signifie véritablement l’expression « avoir quelqu’un dans la peau » ? Voilà les questions auxquelles nous attendons des réponses pour ce nouvel appel à textes.
Le fantasme de faire l’amour avec une personne qu’on ne connaît pas, de s’abandonner au désir d’un humain avec lequel on n’a parfois pas même échangé un seul mot, est très répandu. Certains l’expérimentent sur les applications de rencontres, d’autres dans les alcôves des clubs libertins et autres lieux de perdition.
Mais le sexe avec un inconnu peut aussi survenir à n’importe quel moment, dans le métro, dans la rue ou dans un magasin, à la suite d’un échange de regards particulièrement électrique. C’est en général une simple pensée fantasmatique, qu’on chasse rapidement de son esprit avant de reprendre le cours normal de sa journée… Sauf dans le présent appel à textes.
Nous recherchons des histoires qui racontent comment les choses se passent quand on croise la route d’une personne, homme ou femme, qui nous excite de façon tellement irrépressible qu’on ose prendre l’initiative. Nous recherchons aussi des histoires qui mettent en scène des humains que l’inconnu excite en tant que tel, et déploient donc des stratégies particulières pour mettre ce fantasme à exécution et se donner à des corps sans nom.
L’inconnu est à prendre ici au sens large: un homme inconnu, une femme inconnue, un couple inconnu, un groupe de gang-bangers inconnus, hétéro, homo, bi, SM, la seule limite strictement disqualifiante sera celle du viol.
Un recueil chasse l’autre, et alors que sort cette semaine Osez 20 histoires érotiques racontées par des femmes, le moment est venu de solliciter votre imagination et votre science du verbe salace pour le prochain recueil, dont voici la couverture, qui aura pour cette fois valeur d’appel à textes :
Les éventuelles questions que vous vous posez (Combien de signes? A quelle adresse envoyer le texte? etc) trouvent une réponse dans la page « Participez » de ce site.
Pour le prochain volume de la collection, nous ne sollicitons exceptionnellement que des femmes. Il sera composé de 20 histoires écrites par 20 femmes avec des scénarios, des fantasmes et des styles certifiés 100% féminins. L’idée est de montrer que les femmes ne sont pas nécessairement « plus romantiques » que les hommes, qu’elles n’associent pas toujours le sexe à l’amouuuuur, qu’elles n’ont pas peur d’appeler un chat un chat (en l’occurrence une chatte), mais qu’elles peuvent aussi le faire sans que cela ne définisse un modèle figé de sexualité féminine. Pas de thème imposé donc, vous pouvez raconter ce que vous voulez, toutes les pratiques sont les bienvenues. La sélection se fera comme d’habitude sur l’efficacité érotique, mais aussi sur la variété des histoires et des sensibilités. Le mieux est donc peut-être d’écrire une histoire qui vous ressemble ?
Important: Nous ne prendrons pas de nouvelles écrites par des hommes sous pseudo féminin.
Date de rendu des textes: le 1er décembre 2018
Les éventuelles questions que vous vous posez (Combien de signes? A quelle adresse envoyer le texte? etc) trouvent une réponse dans la page « Participez » de ce site.
